Dans les années 1950 et 1960, la résolution de problèmes était présentée comme un processus simple qui exigeait des experts qu’ils identifient le problème, qu’ils l’analysent, qu’ils recueillent des données et qu’ils mettent en œuvre les meilleures solutions issues de la collecte et de l’analyse des données (Allmendiger, 2007). Ces problèmes sont décrits comme des problèmes apprivoisés car ils peuvent être clairement définis, résolus techniquement et abordés dans un cadre institutionnel stable (Kostić, 2024). Cependant, certains problèmes/défis ne se pliaient pas à ce processus de planification procédurale en raison de leur complexité et de leur nature dynamique. Le concept de « wicked problem » a donc été introduit par Horst Rittel et Melvin Webber en 1993. Ce concept est devenu essentiel pour comprendre les défis sociétaux profondément ancrés qui résistent aux solutions directes, à l’instar d’un bambou chinois qui rebondit lorsqu’il est frappé par une tempête de pluie. Les « wicked problems » se caractérisent par leur complexité, leur interdépendance et leur nature évolutive (Hipolito & Khanduja, 2024). Ces problèmes n’ont pas de définition claire, sont façonnés par de multiples parties prenantes aux intérêts contradictoires et ne présentent pas de solutions définitives ou universelles. Les tentatives de résolution des problèmes pervers engendrent souvent de nouveaux défis qui compliquent encore davantage le paysage des problèmes. La nature cyclique et imprévisible des problèmes pervers les distingue des problèmes simples.
Dans cet article, les analystes de la CISA considèrent l’exploitation minière illégale à petite échelle au Ghana (communément appelée galamsey) comme un problème pervers paradigmatique. Alors qu’elle est souvent présentée dans le discours public comme une question d’application de la loi ou de protection de l’environnement, sa véritable nature est bien plus complexe et façonnée par de multiples parties prenantes aux intérêts contradictoires. Il s’agit notamment des mineurs et de leurs sponsors qui en tirent des avantages financiers et ne veulent donc pas qu’elle soit interdite, du grand public, sous la houlette des organisations de la société civile (OSC), qui réclament son interdiction, et du gouvernement en place, qui se trouve face à un dilemme. En conséquence, la galamsey existe à l’intersection du désespoir économique, des faiblesses de la gouvernance, de l’ingérence politique, des pressions mondiales sur les produits de base, de la marginalisation rurale et de la vulnérabilité environnementale. L’objectif de cet article est d’examiner de manière critique les multiples façons dont la galamsey fonctionne comme un problème pervers, de démêler ses liens plus profonds avec l’effondrement écologique, l’insécurité alimentaire et hydrique, les crises de santé publique et les inégalités socio-économiques, et de proposer des voies vers des solutions durables et systémiques. Ce faisant, l’article soutient que la persistance de la galamsey n’est pas simplement un échec de l’application de la loi, mais qu’elle est symptomatique de défis structurels et de développement plus larges auxquels l’État ghanéen est confronté.
2. le Galamsey, un problème maléfique et non pas apprivoisé
Pour comprendre que la galamsey est un problème pervers, il faut d’abord apprécier l’inadéquation des approches technocratiques simplistes. Un problème simple, tel que la réparation d’une passerelle reliant des communautés ou la régulation du trafic, a des limites claires, des résultats prévisibles et des solutions qui peuvent être répétées avec un succès constant. Le Galamsey, cependant, échappe à ces réponses linéaires parce qu’il est lié à des stratégies de survie socio-économiques, au clientélisme politique, à la complexité du régime foncier, aux marchés mondiaux de l’or et à la dynamique du pouvoir local. Elle ne se présente pas comme un problème unique, mais comme un ensemble de défis qui se renforcent mutuellement. Depuis 2017, toutes les tentatives de lutte contre la galamsey révèlent sa fluidité. Par exemple, lorsque les forces de sécurité sont déployées pour réprimer les mineurs, les opérations se déplacent simplement vers des endroits plus éloignés. Lorsque le gouvernement suspend ou retire les licences minières, les mineurs illégaux forment de nouveaux réseaux, souvent soutenus par des acteurs influents qui tirent profit du commerce. Lorsque d’autres moyens de subsistance sont mis en place, ils sont éclipsés par les bénéfices financiers immédiats de l’exploitation minière illégale. Même les tentatives de formalisation de l’exploitation minière à petite échelle sont sapées par la capacité limitée des organismes de réglementation à contrôler le respect des règles, ainsi que par la corruption omniprésente qui permet aux opérations illégales de prospérer sous le voile de la légitimité.
Plus important encore, le galamsey s’inscrit dans une réalité socio-économique plus large caractérisée par la pauvreté rurale, le chômage des jeunes et la baisse de la productivité agricole (Ayambire et al., 2024, Obodai et al., 2024). Dans de nombreuses communautés minières, l’exploitation minière illégale n’est pas perçue comme une activité criminelle mais comme une réponse rationnelle à la négligence structurelle et aux opportunités économiques limitées (Akponzele et al., 2025). Cette perception rend la répression insuffisante car elle ne s’attaque pas aux fondements sociaux qui rendent la galamsey attrayante (Aziabah & Ayelazuno, 2024). Le conflit d’intérêts entre les parties prenantes : mineurs en quête de moyens de subsistance, chefs en quête de redevances, politiciens en quête de votes et entreprises en quête de concessions crée un environnement politique dans lequel aucune intervention unique n’est universellement acceptée ou durablement applicable (Taabazuing et al., 2012). Il s’agit là de l’essence même d’un problème complexe : à multiples facettes, contesté et résistant aux remèdes unidimensionnels.
3. Le galamsey, symptôme de problèmes systémiques plus vastes
3.1 Effondrement de l’environnement, limites planétaires et changement climatique
L’une des dimensions les plus dévastatrices de la galamsey réside dans son assaut sur les systèmes écologiques du Ghana. L’exploitation minière illégale, qui repose en grande partie sur l’utilisation non réglementée d’excavatrices, a accéléré la déforestation, la perte de biodiversité et la dégradation des sols à des niveaux sans précédent (Yiridomoh, 2021). Ces excavatrices déchirent les paysages forestiers, détruisent les berges des rivières et laissent derrière elles de vastes étendues de terres meurtries qui peinent à se régénérer. Cette destruction compromet des processus écologiques essentiels, notamment le piégeage du carbone, l’équilibre hydrologique et les cycles des nutriments du sol (Abugre et al., 2025). Il en résulte une pression accrue sur les frontières planétaires liées au changement des systèmes terrestres, à l’intégrité de la biosphère et à l’utilisation de l’eau douce. Les impacts écologiques ne sont pas isolés ; ils provoquent des ondes de choc dans des écosystèmes entiers. Les forêts qui servaient autrefois d’habitats à diverses espèces végétales et animales sont en train d’être détruites. Nombre de ces organismes jouent un rôle essentiel dans la fertilité des sols, la lutte contre les parasites, la pollinisation et la régulation du climat. Leur disparition déstabilise donc les équilibres écologiques et contribue à l’extinction d’espèces dont la valeur pour la survie de l’homme est incommensurable. Les exploitations de cacao, en particulier, ont subi des destructions catastrophiques. Ces exploitations ne soutiennent pas seulement l’économie du Ghana, mais fonctionnent également comme des systèmes agro-écologiques qui servent de refuge à des micro-organismes et à des insectes d’une importance cruciale. Selon Wilberforce & Nunoo (2024), plus de 19 000 hectares de terres agricoles ont été détruits dans des régions clés de la culture du cacao, telles que les régions occidentale et ashanti, une perte qui a des implications non seulement pour les écosystèmes, mais aussi pour la stabilité économique nationale et les chaînes d’approvisionnement mondiales en cacao. Le changement climatique amplifie encore la complexité de la situation, car la déforestation et la dégradation des sols causées par le galamsey réduisent les puits de carbone, augmentent les émissions de gaz à effet de serre et affaiblissent la résilience des écosystèmes aux stress climatiques. L’effet cumulatif est une boucle de rétroaction dans laquelle la dégradation de l’environnement exacerbe les vulnérabilités climatiques, tandis que ces vulnérabilités, à leur tour, poussent davantage de populations rurales vers le galamsey à mesure que l’agriculture devient moins fiable.
3.2 Sécurité alimentaire et hydrique et menace croissante de contamination toxique
La sécurité alimentaire, définie comme une situation dans laquelle toutes les personnes ont, à tout moment, un accès physique, social et économique à une nourriture saine et nutritive, est directement menacée par les activités de galamsey (Acheampong et al., 2022). Les principales régions productrices de denrées alimentaires du Ghana, notamment Ashanti, Western North, Eastern et Savannah, sont ironiquement les régions les plus dévastées par l’exploitation minière illégale. À mesure que les terres agricoles sont transformées en puits miniers, la disponibilité des terres arables diminue, ce qui réduit la production alimentaire et affecte les moyens de subsistance (Ansah & Smardon, 2015). Obodai et al. (2024), en utilisant l’échelle d’expérience de l’insécurité alimentaire (FIES) à Amansie West, ont trouvé des statistiques très troublantes : environ 50,1 % des personnes interrogées ont connu une insécurité alimentaire modérée, tandis que 13,3 % ont été confrontées à une insécurité alimentaire sévère, des chiffres qui dépassent largement les moyennes nationales. Ces résultats indiquent qu’une grande partie de la population passe au moins une journée sans nourriture adéquate, et que les femmes, en particulier celles dont le régime alimentaire est peu varié, en supportent le plus lourd fardeau. L’étude met en évidence la relation complexe entre l’exploitation minière illégale, les petites exploitations agricoles et le bien-être individuel. Si l’exploitation minière peut stimuler l’économie à court terme, elle compromet fondamentalement la stabilité et la résilience des systèmes alimentaires.
Au-delà de la baisse de la production, la contamination des aliments est apparue comme une nouvelle source de préjudice. Des preuves de plus en plus nombreuses révèlent que des aliments courants tels que le kontomire, la noix de coco, les mangues, les tomates et les poivrons récoltés dans les zones touchées par la galamsey contiennent des niveaux dangereux de mercure, de plomb et de cyanure. Ces toxines s’accumulent dans le corps humain et présentent de graves risques pour la santé, notamment des lésions neurologiques, des insuffisances rénales, des fausses couches, des troubles hormonaux et des cancers (Collins, 2022 ; Laoye et al., 2025). La contamination des aliments fait donc passer le galamsey d’un problème économique ou environnemental à une urgence de santé publique qui menace la nutrition nationale et le capital humain. L’exposition au mercure et à d’autres produits chimiques toxiques utilisés dans l’extraction de l’or est liée à de graves malformations congénitales, à des troubles neurologiques et à des retards de développement. Les enfants nés dans les communautés touchées par la galamsey courent un risque élevé de malformations pouvant affecter la mobilité, la cognition ou les fonctions sensorielles (Arhin et al., 2025). Bien que le handicap ne doive jamais être assimilé à l’incapacité, ces conditions créent des défis importants pour les personnes touchées et imposent des coûts socio-économiques à long terme aux familles, aux communautés et à la nation dans son ensemble. Un pays dont les générations futures souffrent de problèmes de santé évitables met en péril sa trajectoire de développement et compromet le capital humain nécessaire au progrès national.
L’insécurité de l’eau est une autre dimension critique de la crise de la galamsey. Les principaux cours d’eau tels que le Pra, l’Offin, l’Ankobra et le Birim ont été transformés en canaux troubles et fortement pollués, remplis de mercure, d’arsenic, de cyanure et de matières en suspension. Les communautés qui dépendent de ces rivières pour la boisson, l’agriculture et la pêche sont confrontées à des conséquences désastreuses. La Ghana Water Company Limited a souvent du mal à traiter l’eau de ces rivières pour la consommation urbaine, ce qui entraîne des coûts d’exploitation plus élevés et parfois la fermeture pure et simple des usines de traitement. La destruction des écosystèmes fluviaux a également des effets dévastateurs sur la biodiversité aquatique, perturbe les pêcheries et compromet les économies traditionnelles. L’insécurité hydrique n’est pas un phénomène isolé, car elle alimente l’insécurité alimentaire, les risques sanitaires et le déclin socio-économique (Vuong et al., 2022). Lorsque les communautés manquent d’eau salubre, l’agriculture devient moins viable, l’assainissement se détériore et les maladies d’origine hydrique deviennent endémiques (Emran et al., 2024 ; Koren et al., 2021). Cette interdépendance renforce la méchanceté du problème de la galamsey : chaque impact en renforce un autre, créant un cycle de vulnérabilité en cascade.
4 Traiter le problème épineux de la galamsey : vers un avenir durable
Pour s’attaquer au grave problème de la galamsey, il faut d’abord reconnaître qu’il ne peut et ne doit pas être réduit à un sujet de discussion politique ou à une stratégie électorale. L’une des dynamiques les plus offensives qui entretiennent la crise est la manière dont les acteurs politiques ont instrumentalisé l’exploitation minière illégale à des fins partisanes. Au cours des trois dernières saisons électorales (2016, 2020, 2024), la galamsey est devenue un outil de mobilisation des votes, d’apaisement des élites locales et d’obtention d’un soutien financier. De nombreux rapports d’enquête et discussions soulignent le rôle bien ancré des personnalités politiques, qui servent parfois de financiers, de « présidents » ou de partenaires silencieux dans la perpétuation des réseaux d’exploitation minière illégale. Dans un tel contexte, la lutte contre la galamsey est compromise dès le départ : les institutions chargées de faire respecter les lois minières sont affaiblies, les fonctionnaires sont en conflit et les mineurs illégaux acquièrent un sentiment d’impunité, nombre d’entre eux publiant des vidéos en ligne, notamment sur TikTok, pour justifier leurs actes.
La volonté politique n’est donc pas seulement souhaitable, elle est indispensable. Aucun groupe de travail, comité, opération militaire ou campagne publique n’aura d’impact significatif si la classe politique et les institutions qu’elle contrôle ne s’engagent pas sans réserve à démanteler les réseaux de pouvoir et de profit qui sous-tendent l’exploitation minière illégale. Ce défi rappelle l’argument fondamental de Walter Rodney dans Comment l’Europe a sous-développé l’Afrique, qui montrait comment l’exploitation extérieure a façonné la trajectoire de développement du continent. Dans le cas du Ghana, cependant, la tragédie n’est pas simplement externe mais interne : la cupidité, la complicité et l’hypocrisie ancrées dans la culture politique de la quatrième République ont sapé les promesses du programme de construction nationale de Nkrumah. Le projet post-indépendance envisagé par Nkrumah, fondé sur une gestion disciplinée des ressources, le progrès collectif et la transformation industrielle, a été compromis par des cycles de recherche de rentes, de politique de favoritisme et d’érosion de la responsabilité publique.
Galamsey reflète non seulement l’échec institutionnel, mais aussi une crise morale au cœur de la gouvernance. Lorsque les dirigeants qui condamnent publiquement l’exploitation minière illégale en profitent en privé, la société reçoit des signaux contradictoires sur ce qui est autorisé et ce qui est punissable. Cette hypocrisie enhardit les mineurs illégaux, affaiblit les organismes chargés de faire respecter la loi et alimente la méfiance du public. En ce sens, la méchanceté du problème ne réside pas seulement dans sa complexité socio-économique, mais aussi dans les contradictions politiques qui lui permettent de persister. Les problèmes graves exigent une volonté politique inébranlable, car un engagement partiel ou une application sélective ne font que multiplier la complexité du problème. Les générations futures, qui hériteront de rivières polluées, de sols toxiques, de forêts épuisées et d’institutions affaiblies, demanderont à juste titre des comptes aux dirigeants d’aujourd’hui pour avoir consommé les ressources nationales avec une avidité insouciante tout en détruisant les opportunités qui auraient pu permettre leur prospérité.
Compte tenu de la nature profondément enchevêtrée de la galamsey, les réponses efficaces doivent être également multiformes et systémiques :
- De solides réformes de la gouvernance devraient être mises en place pour améliorer la surveillance réglementaire et isoler la gouvernance minière des interférences politiques.
- Des systèmes transparents d’octroi de licences d’exploitation minière, des registres d’administration foncière numérisés, des réformes anti-corruption et des cadres de suivi communautaires solides doivent remplacer les processus opaques et politiquement manipulés.
- La restauration écologique est tout aussi essentielle et nécessite des investissements à long terme dans le reboisement, la réhabilitation des cours d’eau et la régénération des sols.
- Les interventions de santé publique doivent se concentrer sur la surveillance de l’exposition au mercure, le soutien aux enfants affectés et l’équipement des centres de santé ruraux en moyens de diagnostic et de traitement.
- Les moyens de subsistance alternatifs doivent offrir des revenus compétitifs et durables, soutenus par l’accès au marché, le financement et l’infrastructure.
En conclusion, la lutte contre le galamsey exige une approche qui associe l’application de la loi à la protection sociale, la science environnementale à la sagesse communautaire, et la transformation économique à la responsabilité politique. Elle nécessite un leadership politique prêt à affronter non seulement les mineurs illégaux, mais aussi les élites puissantes qui profitent de l’industrie et la protègent. Les solutions doivent être à long terme, adaptatives et collaboratives, en reconnaissant qu’aucune institution ou intervention unique ne peut résoudre de manière globale un problème aussi profondément enraciné. Grâce à un courage politique soutenu, à une gouvernance inclusive et à une planification holistique, la trajectoire destructrice de la galamsey peut être ralentie et finalement inversée, créant un avenir où l’intégrité écologique, la santé publique et le développement équitable seront rétablis pour les générations à venir.
Référence
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